Bon après avoir goûté via multiples démo de l’échangeur à mes amis Brentien j’ai décidé de me rendre enfin en solo sur Second Life sans prendre de carte, mode d’emploi ou autres aides.
Un point positif je n’ai pas eu de problèmes techniques pour me connecter malgré des rumeurs de lourdeur et autres buggs. Me voilà donc au pif et 15 secondes après mon arrivée on me propose une téleportation, pas de problème , j’accepte ! Ah me voilà sur l’ile de la tentation italienne de SL, c’est très chaud§
Bon je tappe des mots clefs dans le moteur de recherche et me retrouve dans d’autres endroits plus ou moins peuplés mais avec un point commun : on me propose d’acheter tout et n’importe quoi, on m’alerte que certains endroits me sont interdits car je ne suis pas membre (…) les limites de ce modèle avant tout capitaliste sont bien loin des envolées philosophiques du web 2.0.
You want to play, you’ve got to pay !
La meilleure façon d’utiliser Second Life c’est d’y aller sur conseil, merci donc à mes amis ci-dessus de nous en donner parfois sur Brent et aux autres blogs de nous donner les bons plans.
J’étais très réservé sur l’utilisation de SL mais tout compte fait son utilisation demeure assez simple et si l’environnement ne vous assomme pas avec de la musique techno et un décor pseudo futuriste vous pouvez créer un lieu virtuel très convivial.
En revanche une chose est certaine, l’investissement dans Second life pour faire du vrai business et donner un service ou au moins une image de qualité et supérieur à celui d’un site ou d’une plateforme 2.0 . Ceci pour une raison bien simple, SL c’est le virtuel mais surtout le PRESENTIEL. Vous devez être en avatar et gestes pour assurer le service ou c’est l’horreur du grand vide et des âmes qui tournent, volent ou se téléportent à la recherche d’un peu d’activité, de contact, d’échange.